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Joson Riaferwulf
Habitant·e
Joson Riaferwulf
☆ Avatar : comiss. du p. par m.tv69 & cattuchino
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Sam 14 Sep 2019 - 21:38

Joson Riaferwulf


  • Jos, mais peu de personne le surnomme, on l'appel plutôt par son titre ou son nom de famille
  • 32 ans
  • chef des armées de l'empire des eaux
  • empire des eaux du coup mdr
  • pitié non ptdr
  • ...

et nous naissons, déjà, le coeur en forme d'écusson


Caractère

Garçon effacé, dont le mot favoris était efficacité, il a toujours eut dut mal à externaliser ses émotions, bien que ça ne soit pas forcément mal vu dans sa famille, ce n'était pas le modèle qu'il suivait. De plus il a toujours eut une haute tolérance à la douleur physique, et avec sa taille, il a très vite eut une réputation de géant de pierre en grandissant.

Sa famille qui le connait bien sait qu'il a toujours dans son enfance, été plus un suiveur qu'un meneur, mais après ses seize ans, il a commencé à sortir de sa coquille et à prendre sur lui pour aller vers les autres, prendre de plus en plus de responsabilités.

Quelque chose semblait avoir fait un déclic chez lui, beaucoup se demandent si ce n'est pas par rapport à la situation avec l'une de ses cousines, mais personnes, jamais ne lui a demandé. Ce changement ne le rendit visiblement pas plus émotif, mais plus à même d'exprimer sa pensée. Étant très direct, il a très vite eut tendance à froisser les autres sans que ça soit l'effet recherché. Il a notamment, toujours été critique de ses camarades soldats autour de lui une fois dans les forces, d'après lui, il y avait beaucoup de paresse dans ses groupes.

Biberonné au perfectionnisme depuis la petite enfance, il du apprendre rudement lors des entrainements à accepter les échecs, et à s'en servir pour gravir de plus haut sommets, ce que sa famille n'avait jamais réussit à lui enseigner. A force de grimper les échelons sa fonction se rapprocha de plus en plus à une fonction de bureau, il se pris une nouvelle passion pour les hautes études, dont il n'avait eut goût que vaguement enfant.

Tout est sujet au dépassement chez lui, il n'y a jamais eut beaucoup de place pour les autres dans son ascension, et même s'il n'attise pas la cruauté dans son coeur, grimper aussi vite des échelons nécessite, parfois, de ne pas regarder derrière soit. Il se fit des ennemis parmi ses aînés, et du faire avec celleux qui essayait de le ralentir. Mais toujours Joson continuait d'avancer ; parfois au ralenti oui, il lui arrivait, lors d'un campement sous les étoiles, de se demander ce qu'il fichait, pourquoi il essayait d'ouvrir toutes ces portes de plus en plus lourdes, avec autant d'ardeur, une ardeur si paisible du point de vue extérieur, mais en lui, il la savait dévastatrice, suppliante.

pendant toutes ses années, la peur de l'échec, même s'il avait appris que celui-ci pouvait être un marche pied, ne faisait que s'accumuler en lui. D'autre aléa de la vie ne l'avait pas aidé, comme toutes ses lettres écrites à sa cousine, restées sans réponses, son manque lors des réunions de familles, et son nom devenu tabou, comme celui des autres enfants qui aurait de trop dévié de la voix nommée par les parents. Même si ce n'était pas de sa faute, il se sentait responsable, et la culpabilité grandissait en lui, comme s'il avait pu y faire grand chose, comme si il aurait pu donner sa place, et il avait honte de ce sentiment. Si sa cousine savait ce qu'il ressentait elle l'aurait frappé, invectivé, comme si elle avait besoin de sa pitié ! C'est ce qui lui donne la force de ne pas rompre dans les moments sombres, il doit trop aux autres.

Il a une soif de preuves en lui, il a une soif de redorer le blason de sa famille à tel point que...à un point insurmontable par quiconque, que son nom dans le futur soit légende, que les parents soit repus de gloire, et qu'ils laissent les enfants s'épanouir, vivre. Ce n'est qu'une fois adulte que Jos c'est rendu compte d'un certain mal irréparable que son éducation lui avait causé, à lui, aux autres. Son besoin de conquérir comme de protéger était grand, mais il n'était qu'un homme, plus que jamais, il ressentait ce paradoxe grandissant. Une fois toutes les épées en main enfin pouvait-il pleurer la mort de tout ses héros d'enfance, à jamais des mythes, la réalité étant tout autre.

Physique

Joson est un grand gaillard au cheveux noir, il mesure 1m97 et oui, doit souvent courber l'échine. Faisant partie des costaud non seulement de par sa taille mais aussi son gabarit, il lui arrive souvent de donner des coups de mains au palais avec les servants. Ça fait un peu jaser parce que noblesse oblige, pour certain.e on ne devrait pas mélanger chiffon et carré de soie. Mais Joson avant d'être fils de noble, est fils de soldat. La camaraderie et l'entraide envers son prochain fait partie intégrante de son éducation, bien sûr cela ne s'étend qu'à ses concitoyen.ne.s de l'empire, pour le reste, il se fait plus bloc de glace sous des allure d'une fallacieuse, tendre politesse. Cette camaraderie lui a valu quelques incidents sur le terrain, pendant qu'il faisait ses armes, son corps en garde quelques cicatrices. La plus importante, une grande balafre qui découpe en diagonale son dos, assez vilaine, et qui le tiraille parfois encore la nuit (il a des baumes mais il a un peu de mal à se les tartiner seul, et Joson, n'aimant pas que d'autre la touche, préfère galérer maladroitement avec ses mains rudes et caleuses. Certain. servant.e lui ont bien proposé à la suite des soins, après l'hôpital, mais le regard clair de Joson était fermé sur un non).

Histoire


[Trigger Warning : TS /!\/!\]

DEBOUT !
sur la terre et contre l'herbe douce
les journées se déversent
DEBOUT !
dans la sueur et les souffles courts
les matins chancellent, les soirs trébuchent

et même sous le froids des étoiles, les rayons écrasant du soleil, couvert d'une fine pellicule de flocon ou non il faudra se relever fils, filles, progénitures des Riaferwulf et apparentés. Il faudra courber l'échine et surmonter la douleur, les pleurs, il faudra bien s'y faire puisqu'on ne vous laissera pas le choix.
Il faudra être soldat.
dans le corps comme dans le coeur, et se souvenirs même lors des entrainement difficiles, dans les moments ou nous sommes sous l'emprise de la peur, qu'un soldat ne marche pas seul au combat.

Lorsque le maitre crie DEBOUT vous ne serez pas seul à l'avoir entendu, vous ne serez pas seul pour panser vos cloques et vos écorchures, il y aura toujours, entre les claques, dans le sillons de ces mains bourrues,
des caresses des câlins pour vous aider à dormir outre les courbatures.
des remèdes et des chansons, des histoires de ces héros, héroïnes, des ces grandes personnes maître.sse de leur arts.
Pour que dans vos rêves, de toute part, s'insinue cet amour tordu, rompu, de l'art de la guerre.

Joson ne fait pas exception, fils de Dralas Riaferwulf et de Danaë Riaferwulf. Second d'une adelphité allant de nos jours jusqu'à sept enfants. Il a grandi dans une ambiance spartiate quand à son éducation, typique de sa famille noble. Et bien qu'il soit grand frère et petit frère à la fois, c'est de bien plus que de ces proches adelphes. En effets, tous les enfants de la grande famille sont élevés ensemble au manoir familiale jusqu'à leur seize ans. Ainsi, ses cousins et ses cousines aussi, sont quelque parts, ses adelphes à ses yeux, ayant grandit dans une grande proximité avec elleux. Bien que les instructeurices prennent en compte les différences physiques entre les corps dans leur jugements et l'éducation, celle-ci est inculquées de façon mixte la très grande majorité du temps. Règne donc au sein de cette famille, une ambiance toute particulière.

Tout cela pour un seul but commun, pour une position qui se paye cher dû à son unique place :
Au côté de votre Impératrice / Empereur vous courberez l'échine et entre vos mains reposeront toutes les épées du pays.

C'est une tradition d'il y a longtemps, si longue dans la lignée qu'on peut dire qu'elle a façonné la famille à l'image de cette idée démesurée.
Depuis la seconde guerre, celle-ci n'a fait que s'intensifier, en effet en amont de celle-ci, la fille aîné d'une des branches de la famille était pressentie pour le poste, enfin l'enfant parfait ! elle rayonnait de combativité, elle avait tout pour elle, mais juste avant la déclaration, pendant les moments de grandes tensions, un coup du sort, une mauvaise blessures, alité, le second favoris d'une famille concurrente fut nommé. et puis la guerre et sont lot de désastre arriva, Australis fut perdue, une grande partie de la population aussi. Ceux qui revinrent de la famille, marqué à vie par le traumatisme d'une guerre aussi terrible, se turent soit dans un mutisme sombre, ou tout au contraire s'exaltèrent à vouloir reconstruire une grandeur qui, dans leur estime, avait été loupée de si peu.  

redoublant d'audace autant dans les entrainements physiques, que stratégiques, ou bien encore politiques, le rythme infernal ne s'arrêtait que pour très peu d'entre elleux, et, l'option de ne plus faire parti de cet institution était d'autant plus effrayante. Dans le milieux, les enfants Riaferwulf sont réputés pour être d'une discipline et d'une férocité exemplaire, qui déborderait presque sur le fanatisme. Presque, puisqu'il ne s'agit pas d'une facette que la famille encourage en publique, même si en privé elle existe bien évidemment, les enfants qui grandissent ensemble dans de telles conditions, forment des pactes et des groupes étranges, telle une meute dans la meute.

Joson n'a jamais imaginé s'écarter du droit chemin tracé pour lui, vaillant, il avait toujours ses camarades pour l'épauler lorsqu'il se sentait cassé par la tâche. Il n'y avait aucune rancune de sa part envers ses géniteurices, tout était normale pour lui, et le fait qu'entre les entrainement celleux-ci aient des gestes doux, des encouragements à leur distribués, ravivait toujours sa ferveur. La fierté était grande de faire partie de ce genre d'élites, qui fournissait toujours, à contrario du but ultime, d'excellents soldats dans toutes sortes de spécialités différentes. Et plus la fierté grandissait, plus la peur de décevoir devenait abyssale, c'était d'ailleurs la ou tout leur stress commun s'accumulaient. Pour ses enfants d'été jamais confrontés à la guerre, la vraie, être un échec semblait plus terrible que la mort elle-même.

Rien qu'iels admettent ne sûrement jamais atteindre le poste espéré, à cause d'un manque de compétence, ou parce que leur intérêt s'est retrouvé dans une spécialisation autre, dénotait d'un courage immense. Ainsi apparut la grande sœur de Joson lorsqu'elle fit face à leur père, du haut de ses huit ans il tremblait pour elle lorsqu'elle même, semblant doté d'une aisance hors-norme dans cette situation, annonçait en grande pompe qu'elle souhaitait continuer à faire carrière dans la cavalerie et la joute, et uniquement ces matières-ci.

Il lui trouva une telle prestance cet instant là, et espérait en son coeur, se forger le même courage dans le futur. Étonnamment la nouvelle ne fut pas mal accueilli, par rapport à ce que Joson s'imaginait, et il découvrit aussi ce jour là que malgré les discours, son père semblait plus raisonné qu'il n'y paraissait. Il donna non sans amertume son accord, et une fois la jeune femme congédiée, il soupira même à son valet que de toute façon il s'y attendait.
Déjà le jour ou il l'avait posé sur une selle il savait, que son amour pour les chevaux serait dévorant.

Cette douceur involontaire resta longtemps dans la tête du jeune garçon, le rendant d'autant plus dévoué à l'idéal de son père qui était devenu le sien. Pourtant, la veille de ses seize ans il fut prit à part d'un air grave. Il pensait savoir le sujet discours mais il n'imaginait pas la violence et l'impact qu'aurait celui-ci sur sa vie et sur la façon dont il comprenait son rôle ainsi que sa famille. Son père fit très court, quelques phrases à peine :

Ainsi viennent tes seize ans.... ... ...il se peut donc qu'un des esprits te choisisse comme apprenti.... ... .... depuis que ta sœur aîné a donné son âme à la cavalerie, tu es notre meilleur chance de réussite tes efforts payent fils, tu me rends déjà si fier... .... ....mais si demain ou les jours, l'année suivante, les esprits choisissent de te faire apprentis alors je te tuerais de mes propres mains. ça leur passera peut-être l'envie de nous voler nos meilleurs éléments une bonne fois pour toute.

et sa voix était grave, et son regard noir malgré qu'il fut si bleu
et ses mots étaient pensés et Joson savait, oh il le ressentait au plus profond de son âme
qu'il ne mentait point.
Son père avait l'expression d'un homme décidé qui avait déjà fait son deuil jusque au cas où, et tant pis si c'était blasphème.

Il était vrai que l'ancienne famille Riaferwulf, malgré ses ambitions depuis si longtemps militaire, avait tendances à produire.....des apprentis. Souvent les enfants les plus doués étaient choisis, et malgré l'honneur que ça devait être, les décennies avait remplis leur cœurs d'une amertume incommensurable à l'égard de ces déités voleureuses d'enfants. Dralas lui, semblait décidé à risquer de voir sa lignée maudite que de continuer à succomber ses meilleurs élèves aux voix sages de la magie.
et bien que le sang de Joson se glaça, il ne sentit pas son amour trembler, sa famille l'avait façonné à une image à laquelle il n'imaginait pas ne pas correspondre, leur désirs seront des ordres.

Par la suite il pus avoir la journée libre, c'était de coutume. Il retrouva donc sa cousine du même age, et du même jour aussi. Leur rivalité tout comme leur amitié était un puits sans fond. Pour l'instant, c'était elle qui marquait le plus de point. Rien d'étonnant, dans la famille, les fille semblaient toujours plus douées. Mais être favoris était une lame à double tranchant comme Joson l'avait bien compris, l'on pouvait aussi être le favoris des esprits. Joson confia alors à son amie de toujours les mots de son père, même si celui-ci lui avait fait promettre de n'en parler à personne, elle serait l'exception ! La jeune fille tête brûlée en apprenant la nouvelle ne fit pas cas de la gravité de celle-ci, au contraire, elle alla au devant de son ami et se plaint de sa propre mère.

Urg ! Est-ce que ma mère m'a fait un discours à moi ? non évidemment ! tu vas voir que si ça m'arrivait elle ne ferait rien, me regarderait partir plutôt avec une larmichette ahah ! et son rire avait quelque chose d'ingrat, presque colérique. Elle s'empara d'une branche au sol du petit jardin qu'iels squattaient. Si ça m'arrivait....si ça m'arrivait Jos plutôt crever ! J'ai pas fait tout ça pour rien ! Je suis Née pour être cheffesse y a qu'à voir mes résultats ! ça sera toi ou moi mais on me retirera pas ce combat ! et elle brisa la branche sur son genou pour marquer le coup, toute sa colère retombât alors avec les morceaux de bois, et le regard au loin, elle demanda, munit d'une angoisse sous-jacente entendue. Si jamais, si jamais ça m’arrivais Jos tu seras là pour moi n'est-ce pas ? je ne sais pas si j'y arriverai...à mettre fin seule. tu me le promets n'est-ce pas ?! et son regard se fit acéré. il avait toujours eut du mal à lui refuser quelque chose, elle avait toujours fait figure d'autorité à ses côtés. et bien qu'une lourde pierre semblait être tombé dans son ventre, au fil de son insistance grandissante, il promit. De toute façon ça n'arrivera pas n'est-ce pas...?

Mais rien n'est aussi simple il le savait bien. Ainsi la semaine de leur anniversaire, alors qu'iels étaient de tout temps entouré.e.s, (pour éviter qu'une naissance de pouvoir ne soit camouflée, car c'était, hélas, au vue du climat familiale, déjà arrivé plus d'une fois) sa cousine dont le stress se faisait sentir par une sorte d'hyperactivité, n'arrivait pas à récupérer son sang froid après un entrainement à l'estoc, elle se mit à se plaindre de la chaleur, et, alors qu'elle retira l'un de ses gants de protections pour s'éponger le front avec, elle vit, et tout le monde autour aussi. Dans sa paume une petite boule lumineuse flottait. Son cri ne résonna pas tout de suite, ses yeux perdu dans un point vide, écarquillé à la vue de ce que personne d'autre cette fois-ci ne vit, mais lorsqu'il résonna enfin, ce fit dans toute la cours. Les gardes auprès d'elle l'attrapèrent par les épaules tout de suite, alors qu'elle répétait des non non non de plus en plus fort avant d'ordonner qu'on la lâche, ses jambes trainait au sol, elle tremblait tellement qu'elle n'arrivait pas à se tenir droite, elle, pourtant toujours si vive, vacillait. Elle essayait de trainer sa main contre le sol, jusqu'à l'écorchée, frappant contre même la pierre du sentier pour essayer d’éteindre ce qu'elle considérait comme une ignominie. Au milieu du couloir menant au hall, sa mère, l'une des tantes de Joson, arriva essoufflée à leur rencontre. la jeune fille continuait dans des sanglots murmurés mais cinglant, la litanie de son refus en trois lettres, d'une vérité à laquelle elle ne pourrait pas échapper. Jos à côté, avait suivit le cortège, ne sachant que faire il restait interdit, même si son être tout entier frissonnait.

ça va aller.... dit la mère, et son expression tanguait entre la compassion et la désolation.  
les gardes qui essayait d'attraper la main de la jeune fille pour lui faire ouvrir stoppèrent, ses doigts étaient si crispés, refermés en poing, qu'ils en étaient devenus blanc. Malgré tout une faible lueur s'en échappait, entre les rares interstices de la peau.

La jeune fille s'anima soudain de plus belle, commençant à bredouiller à toute allure qu'elle pouvait y arriver qu'elle pourrait faire les deux à la fois, que l'on devait pouvoir trouver un arrangement, elle redressa même son visage noyé pour croiser le regard de sa mère, mais même son regard était plus écarquillé de panique que d'espoir et en se confrontant à celui navré de sa génitrice elle laissa retomber son faciès et trainer ses cheveux au sol dans une position de supplicié.
Ramenez-là dans sa chambre, qu'on lui laisse le temps de préparer ses affaires pour l’école, c'est un des plus grand honneur que d'être choisi par un esprit, tache de t'en souvenir ma fille, ne nous apporte pas l’opprobre. mais cette voix qui faisait preuve d'autorité résonnait lasse, ailleurs, cherchait visiblement dans ce ton si impersonnel, à retrancher une douleur personnelle partagée par l'enfant qui elle, la portait à même la peau.

Puis elle se tut tout à fait, toutes les deux d'ailleurs, la jeune fille respirait très fort, le visage sur le côté, à moitié caché par ses cheveux, et alors que les gardes commencèrent à la trainer à nouveau pour la ramener à ses quartiers Joson croisa son regard rivé sur lui, et sur ses lèvres muettes, il put lire avec horreur "tu as promis".

Le soir venu après le repas et pendant son quartier libre, il monta quatre à quatre les escaliers de la tour. Il ne l'avait plus revu de la journée, il aurait du prévenir quelqu'un de ce sombre destin mais ne l'avait pas fait, n'avait-il pas promit après tout ? Mais une fois les longs couloirs traversés, et deux coup frappés contre la porte de sa chambre, elle vint lui ouvrir, ce qui le soulagea dans la seconde, mais juste la seconde, car sa vision grave lui vola à nouveau le peu de chaleur qu'il avait réussit à regagner.

Seul.e.s
les affaires n'étaient pas faites, les valises, grandes ouvertes sur le lit, étaient encore vides.
la fenêtre était grande ouverte, et elle s'était vêtu d'un complet léger, elle le prit par la main et iels allèrent sur le balcon.
J'aimerai m'envoler le poids léger, vivre aussi loin de ma raison, je ne le peux, tu comprends Jos n'est-ce pas ?
mais Jos ne dit rien, il restait grave, son coeur et sa raison se déchirait entre eux dans son esprit.
J'ai laissé une lettre, bien que ça ne soit pas vraiment nécessaire, tout le monde comprendra aussi, je le sais, personne ne dit rien, mais tout le monde pense pareil.
Il essayait de prendre une décision au fond de lui mais tout se contredisait, la confusion était totale, bien que d'apparence il restait de marbre.
Elle
passa par dessus la rambarde et elle,
tenait à peine tout contre elle, la pointe des pieds entre les barreaux,
les mains accrochées comme des serres mais de verres, à tout moment, elles briseraient.
et c'est là qu'il pris sa décision, mais elle avait déjà lâché la voilà, elle s'envolait, elle lui avait dit au revoir,
mais lui n'avait pas eut le temps
il c'était jeté contre la barrière, le corps à moitié dans le vide plié, mais il l'avait eut, par un bras et elle criait elle criait LÂCHE MOI JOS LÂCHE MOI !!!!
et elle se débattait dans le vide, menaçant leur équilibre à tout deux.
Mais il ne lâchait pas, tout les muscle bandés, le visage cramoisie avec tout le sang qui était remonté, il se rendit très, très vite compte qu'il ne pourrait pas la remonter, et au vue de ses gesticulations, qu'il risquait même de perdre prise à tout instant. Il se mit à hurler à son tour alors des GARDES GARDES !!!! et tout deux dans leur crie autant de panique que de désespoir finirent par rameuter assez de monde pour que in-extremis, elle fut mise hors de danger et ramenée à l'intérieur. Alors on s'affaira autour d'elle, l'un allait chercher le médecin pour qu'on lui prescrive un élixir calmant, l'autre regardait déjà comment barricader la pore fenêtre. Écroulé.e.s au sol, les deux ami.e.s étaient dans les bras de l'un et de l'autre, ou plutôt, c'était Joson qui la tenait fermement contre lui alors qu'elle le frappait, elle lui demandait pourquoi et lui répondait :

parce que si ça avait été moi tu aurais été la première à te mettre entre moi et la fil de l'épée de mon père.

et elle savait qu'il avait raison. Elle l'aurait défendu, elle les auraient convaincu que sa vie valait la peine d'être vécu même si ce n'était pas de la même façon, pas pour le même blason, qu'il n'y avait rien d'humiliant, elle aurait tout fait pour le sauver par adelphité.
Il devait bien lui rendre la pareille.

Les saisons s'enchainèrent, Joson avait maintenant d'autant plus de poids sur les épaules, en plus des attentes de son père, il voulait réussir pour elle, pour pas que sa souffrance soit tout à fait vaine, puisque ça aurait du être lui ou elle de leur point de vue, si ce n'était pas elle, c'était forcément lui.
Il n'y avait pas le choix, il ne l'avait jamais eut,
et ça ne l'avait jamais autant point dérangé qu'à présent.

Cette expérience lui donna une toute nouvelle motivation qu'il enferma au fond de lui même comme un secret de famille bien gardé. Et une fois que ça serait lui alors, plus aucun des autres enfants n'auraient à souffrir de la sorte, au moins le temps de sa génération. De son point de vue, il n'y avait que des point positifs, il ne le prenait pas du tout comme un sacrifice de sa jeunesse, c'était, comme toujours, l'honneur totale s'il réussissait.

Néanmoins, lui qui s'imaginait dans sa cinquantaine peut-être toucher son rêve, fut prit rapidement à contre-pied alors qu'à trente ans, la précédente cheffesse des armées mourut d'une crise cardiaque. Il avait alors à l'époque, passé déjà plus d'une dizaine d'années dans les forces dans laquelle il avait pu déjà se forger une sacré réputation, c'est dire que son entrainement depuis l'enfance plus la génétique lui avait donné une carrure assez impressionnante et des facilités qui l'avait placé parmi les meilleurs des meilleurs. Il avait notamment fait les écoles de stratèges (après tout il venait de la noblesse, il avait de base, des portes ouvertes que d'autre n'avait pas).

Le fait que toute une partie de l'état-major se faisait tout aussi vieillissant rétrécit le choix qui se reporta donc pour un.e chef-cheffesse plus sur la jeunesse. Il s'imagine que le but était qu'avant que l'état major actuel ne  se vide de ses éminents membres, qu'iels puissent aider et former le nouveau chef comme l'on entrainerait la prochaine génération et remplacer petit à petit ses majors. A trente ans ainsi, il devint chef des armées de l'empire.

sa motivation aurait pu complètement mourir à ce moment là, c'est vrai, après tout le but n'était il pas atteint ? Il n'avait jamais rien imaginé après. A son grand soulagement, il découvrit très rapidement une passion tenace pour cette position à haute responsabilités et pressions. Il n'était pas toujours parfaitement à son aise dans les jeux politique autour de lui mais il ne nageait pas totalement dans la mare non plus, de plus, bien que lui seul prenait des décisions sous l'égide de l'impératrice, il n'était pas seul. Outre ses majors, il avait l'armée derrière lui, de laquelle il était aimé (une histoire d'extraction de gemme instable pendant qu'il était commandant sur le territoire avec des soldats et des omniscient où il avait pris le coup d'énergie à la place d'un de ses soldats, il devait avoir la vingtaine à l'époque, tout juste promu, ça lui avait laissé une belle cicatrice et un bon coup de frayeur à sa famille, il se rappel encore les remontrance qu'il avait pris dans la tronche par la suite, qu'il devait faire plus attention à lui, qu'il savait bien que les soldats étaient avant tout des pions qu'il était destiné à plus grand. Mais sur le terrain tout n'était pas toujours aussi simple.) l'histoire c'était répandu assez rapidement. Et puisque il n'avait pas déçu dans la suite de sa carrière, il avait été soutenu lorsque sa promotion magistrale avait eut lieu. et tant mieux d'ailleurs parce qu'elle était loin de plaire à tout le monde. Il avait reçut pas mal de critique à cause de son jeune âge, mais les décisions de l’impératrice étaient immuables au peuple comme à sa cours et ses nobles.

(le perso est donc en position depuis deux ans déjà j'ai pas spécialement envie de trop décrire ces années, ni même sa formation en détail pour éventuellement laisser des liens s'insérer dans sa chronologie par la suite)


Et toi ?

  • vin
  • partenaire...je crois...
  • j'espère être à la hauteur me connaissant je suis capable d'avoir fait une gaffe, je suis abonné à ce genre de chose sur les forums. J'ai pas tout relu mais une fois j'ai vu j'avais marqué joseph au lieu de Joson, j'ai essayé de tout écrire le plus important d'une traite histoire que je me désaccorde pas et j'avoue que j'avais du mal à lire ce que j'écrivais au bout d'un moment mdr. Désolé aussi je me rend bien compte que toute une partie de l'histoire met mon personnage un peu au second plan pour en parler d'un autre, mais c'est plus car j'ai besoin du développement de sa cousine dans son passé pour la construction du chara de mon perso, j'espère que c'est pas dérangeant. sinon j'ai l'habitude de faire des fiches ultra courte genre 500 mots max (j'ai même déjà fait beaucoup moins mdr) alors là je vous avoue je suis doublement à bout mdr. mais je vous aimes beaucoup vous avez l'air de sentir bon  Le graal  2910268764
  • Validé <3

Einarri Void
Apprenti·e
Einarri Void
☆ Avatar : Vanitas de Kingdom Hearts - artiste : ephemeral-death
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☆ Doubles-comptes : /
Sam 14 Sep 2019 - 22:22
Je te le redis ici, parce que bon c'est plus officiel, donc bienvenue ! Et bonne chance pour finir ta fifiche.
Naswen Kael
Omniscient·e
Naswen Kael
☆ Avatar : Gilbert Nightray, Pandora Hearts
☆ Messages : 175
☆ Doubles-comptes : Luinil
Sam 14 Sep 2019 - 23:40
HEY BONSOIR

J'aime beaucoup le début de ta fiche héhé ! J'avoue j'étais en PLS avec l'histoire de sa cousine omg, en tant que joueuse de Luinil j'me sentais si mal qu'elle l'ait choisie alors que ça lui donnait l'envie de mourir omggg

Mais j'aime beaucoup l'histoire que t'as fait, avec l'ambition familiale et tout ça c'est très cool je trouve ! Cette manière d'aborder les Esprits est particulière aussi ptdr c'est bien il faut de tout 8D

Bon courage pour la suite, des bisous ! Le graal  2910268764
Joson Riaferwulf
Habitant·e
Joson Riaferwulf
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☆ Doubles-comptes : nn
Lun 21 Oct 2019 - 17:40
Après tout ce temps, (j'attendais au moins une des premières commissions que j'ai demandé) me voici avec une fiche  terminée, je me suis pas relu par contre donc j'y vais de ce pas, mais sinon tout est bon de mon côté. Merci pour les bienvenues ;) et oui désolé, c'est un peu angst désolé ?? vous inquiétez pas la cousine va beaucoup mieux depuis. Si un jour je fais un dc ça sera sûrement elle d'ailleurs, mais ça, je vous l'avais déjà dit sur la cb je crois ;)
Naswen Kael
Omniscient·e
Naswen Kael
☆ Avatar : Gilbert Nightray, Pandora Hearts
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☆ Doubles-comptes : Luinil
Lun 21 Oct 2019 - 17:59
AHHHHHHHH TROP COOL

Du coup à part le physique j'avais tout lu avant, c'était nickel ! Je te valide, bienvenue parmi nous Le graal  241551954 (cette commi est très cool au passage !!)
Joson Riaferwulf
Habitant·e
Joson Riaferwulf
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Lun 21 Oct 2019 - 18:05
Merci beaucoup de mon côté j'ai fais mes corrections ! je vais de ce pas aller rouler ma bosse alors :3
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